Certains
manifestent, leurs indignations.
Certains craignent la peste, étouffent les rebellions.
Que faire moi le petit ? Enchaîné à ma vie...
Copier les limaces ? Attendre que ça passe ?
C'est mal me connaître... Je suis une sale bête !
A force de prendre des claques. A mon tour, je passe à l'attaque
Depuis je suis satirique, seul moyen de résister,
à nos figures charismatiques, à notre monde empoisonné.
Face à toutes les prises de tête, en haut les soit disant grands,
sans arrêt nous promettent, que demain sera moins puant !
Alors je reste satirique, et c'est un état qui me plaît.
C'est la seule politique, qui leur fait fermer leur clapet !
Je
me moque, des vieux chnoques,
qui à la T.V., apparaissent maquillés.
Leur ego, bien trop gros,
mal sein et pourri, étouffe la vrai vie.
Remettre à sa place, l'élite et les masses,
y'en aura pour tout le monde, les brunes les bruns les blonds, les blondes,
Car je suis satirique, seul moyen de résister,
à nos figures charismatiques, à notre monde empoisonné.
Face à toutes les prises de tête, en haut les soit disant grands,
sans arrêt nous promettent, que demain sera moins puant !
Alors je reste satirique, et c'est un état qui me plaît.
C'est la seule politique, qui leur fait fermer leur clapet !
Aux
idiots, qui l'ouvrent trop,
Je dédie ces paroles, farandoles pour guignols,
La satire, me fait rire.
La relativité des choses, pour ne pas craquer, m'impose,
de sans cesse me moquer, de tout ce qui peut me menacer.
Mais le danger, c'est aussi moi, qui se moquera de mon cas ? ...
Heureusement, vous êtes là.
Car
nous sommes tous satiriques, seul moyen de résister,
à nos fantômes charismatiques, à notre monde empoisonné.
Encore encore satirique, c'est un état qui nous plaît,
c'est la meilleure politique, la liberté à son sommet.
Encore encore satirique. La liberté à son sommet.
Encore encore satirique. La liberté à son sommet.
